La dérive
La dérive
Un journaliste américain, Vester Lee Flanagan, vient de tuer deux de ses anciens confrères en plein direct, le mercredi 26 août en cours. Poursuivi par la Police, il s’est suicidé.
Et voilà une voix autorisée de la Direction de la chaîne concernée, la WDBJ7, qui raconte que le meurtrier, de peau noire et homosexuel, révoqué depuis deux ans et demi pour mauvais rendement dans son travail, n’avait jamais eu de comportement anormal, qu’il avait été filtré lors de son embauchage et qu’il n’avait fait preuve d’aucun problème mental, sauf qu’il « embêtait » ses collègues et qu’il avait proféré des menaces lors de son limogeage.
Il fut un temps, le monde entier considérait avec raison un homosexuel comme un malade mental. Aujourd’hui, sous le prétexte de la nécessité de respecter les droits de l’homme, on appelle bien ce qui est mal.
Mais qui a le droit autre que le Créateur du monde de dire ce qui est la norme ? (Ge. 19. 7 ; Lév. 18. 22 ; 20. 13 ; Jg. 19. 22 ; Ro. 1. 18-32 ; Pr. 21. 30.)
Dans le cas précis de l’homosexualité, la nature que Dieu a créée ne montre-t-elle pas visiblement ce qui est normal, naturel, raisonnable, sensé, rationnel ?
Aveuglés par Satan (ils ne savent pas de quel esprit ils sont animés, Luc 9. 55), les gens du monde sont en train de faire preuve d’égarement. Jésus avait dit cela aux Pharisiens. Il leur avait dit : » Je suis venu pour que les aveugles puissent voir. » Et les Pharisiens de lui rétorquer : « Tu veux dire que nous sommes aveugles, nous aussi ? » Jésus leur a répondu : « Si vous étiez aveugles, on vous ferait voir mais puisque vous ne voulez pas reconnaître votre cécité, vous resterez aveugles. » (Jean 9. 34-41)
J’invite tous les homosexuels et tous les autres pécheurs du monde entier à se convertir. Sinon, c’est le feu éternel qui les attend (Marc 9. 43-48 ; Ga. 6. 7-8).